« L’accès aux activités physiques et sportives des habitants (…) se caractérise par une forte inégalité sociale et territoriale », selon le Comité interministériel de la Ville.
Territoriale parce que les QPV doivent parfois faire face à un déficit d’équipement, voire même d’offre d’activités dans leur environnement immédiat. Sociale, parce que les coûts liés à ces pratiques, de l’achat de matériel aux frais de transport jusqu’au lieu de pratique, sont un vecteur majeur d’exclusion.
Pourtant le sport est un outil multidimensionnel qui permet d’agir sur la prévention, la valorisation des individus et des territoires, la santé, l’insertion, la citoyenneté, etc…